Prout et châtiment

Si vous me suivez régulièrement, vous devez savoir que j’ai créé ce blog quelques temps après la fermeture de la société dans laquelle je travaillais et que j’ai passé plusieurs mois à chercher un nouveau job.
Mon slogan : Juriste et blogueuse, ou plutôt Juriste, chômeuse ET blogueuse. Mais ça, c’était avant.

Il y a quelques semaines, j’ai retrouvé un job (on ne s’emballe pas, c’est juste de l’intérim) et je suis pour quelques semaines, sortie des lettres de motivation, des CV et ça fait du bien. Avec un peu de recul, je me rends compte que j’ai rencontré des personnes assez étonnantes durant cette période et que j’ai surtout vécu quelques entretiens de recrutement cocasses.
Comme je suis super sympa, j’ai bien envie de vous faire partager ces petites cocasseries, certaines pas piquées des hannetons (pardon my expressions ringardes). Quelques articles en préparation alors …

Pour rester dans le thème du boulot mon amour, je tiens à mettre en garde certains membres de la gent masculine qui me lisent (oui, il y en a, je le sais) : péter et roter au bureau peut vous faire perdre votre job. Ainsi, Robert (prénom délibérément modifié, en fait c’était Roger) a fait récemment les frais de sa fantaisie : histoire d’emmerder un peu ses collègues, Robert trouvait très amusant de partager avec eux ses éructations et ses flatulences à tel point que son employeur a été contraint de le licencier. La Cour d’Appel lui a donné raison et Robert pointe à présent chez Pôle Emploi. Espérons que cette mésaventure lui a fait ravaler ses rototos.

Passons maintenant aux dames qui me lisent (oui, il y en a, je le sais) : si l’envie t’en prends jeune fille, tu peux si tu le veux (mais c’est pas obligé hein !), après un repas sérieux avec ton patron et des clients, faire un striptease et montrer tes seins. Et sans te faire licencier. C’est pas beau ça ? Moi je dis, bravo au féminisme, au droit des femmes à disposer de leur corps, toussa toussa.
Petit bémol jeune demoiselle pas farouche, il faudra au préalable que ton patron, Gérard, t’ai prêté un téléphone portable sur lequel, il aura mis bien en évidence, en guise de logo, un sexe d’homme (quel plaisantin ce Gérard) et t’ai laissé quelques messages coquins cochons (oh, my god !).
Je trouve que c’est finalement bien peu de contraintes pour avoir la joie de retrouver les concours de tshirts mouillés de nos années lycées et perdre 20 ans le temps d’une soirée.
Encore mieux qu’une injection d’acide hyaluronique !  

Bonne journée les Loulous.

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