Et bien maroufle maintenant !

Valérie n’a qu’à bien se tenir, je suis la prochaine Damidot du pinceau !
Je dégage les angles comme personne et manie le rouleau avec dextérité, en toute délicatesse et efficacité. La folle n’aurait jamais dû abandonner son émission de déco, je vais lui piquer la place !

Vous l’aurez compris, je navigue en ce moment entre remplissage de cartons, début du déménagement, travaux de peinture, de rénovation et fin de mon CDD freestyle dans une boîte qui s’apprête à lancer un bon gros plan social. Le tout en mode camping dans deux maisons, dont l’une n’est plus vraiment la mienne et l’autre, pas encore mon chez moi. Schizophrène vous avez dit ?

C’est dingue comme le cerveau humain fait abstraction de ce qui le dérange par moment. Et figurez-vous que c’est exactement ce qui nous est arrivé, mon Jules et moi, lorsque nous avons visité notre nouvelle maison. Lui, obnubilé par la remise du fonds du jardin qui deviendrai son futur atelier, moi par la luminosité de la maison et la taille du jardin, parfaite pour mes deux loulous (l’un poilu de 43 kilos et l’autre poids plume de 28 kilos), on a en minimisé l’ampleur des travaux de peinture et de nettoyage.

Ben oui, une maison de 40 ans, avec des murs jaune, orange, coquille d’œuf  et des encablures de portes vertes, forcément ça demande du boulot !

Je ne vous cache pas que l’état des lieux d’entrée fut épique, entre fuite d’eau, prises électriques des années 70 et jardin non entretenu –  la pampa en fait, et qu’une légère baisse de moral nous a saisi.

Quatre jours de nettoyage et de peinture plus tard, puis la visite des potes sous le charme de l’ancienne maison et de son potentiel, nous ont remonté le moral.

Bref, je déménage.

Edit : Je dois ce super titre à @kindiaFi, alias Karine qui m’a laissé en commentaire instagram cette phrase, que j’ai adoré !
Karine, merci pour l’inspiration 🙂

 

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