C’est par hasard que je suis tombée nez à nez avec ce roman, dans la médiathèque de ma ville, au rayon rentrée littéraire.
Je n’en avais pas entendu parler, je ne connaissais pas l’auteur. J’ai appris que c’est lui, Gérard Mordillat, qui était à l’origine de la série télévisée « Les Vivants et les Morts » tirée de son propre roman, qui traitait des patrons voyous qui ferment des usines pour satisfaire leurs actionnaires. J’avais aimé cette série.
J’ai bien compris que je partais à la lecture d’un roman social.